بسم الله الرحمن الرحيم
Le Dhikr en soi n’est qu’un travail de purification — mais ô combien nécessaire car c’est sur cette base que tout devient possible en termes de connaissance, de proximité…
L’autre travail, qui peut être conjoint et simultané et qui est un travail d’approfondissement, est celui de la réflexion (2:164), de la méditation, et de l’introspection — mais il est nécessairement subordonné au Dhikr : rien ne peut se faire sans Dhikr préalable, surtout la méditation (3:190).
En d’autres termes, on peut pratiquer le Dhikr sans réflexion/méditation, mais on ne peut pas réfléchir/méditer sans Dhikr (on peut toujours mais ça sera vain, infructueux).
Et dans tous les cas, tout cela doit se faire sous la supervision d’un Murshid, qui indiquera si on doit faire un Dhikr seul, ou un un Dhikr méditatif, ou si l’on doit pratiquer les deux séparément, et à quel rythme, à quelle fréquence, etc…