بسم الله الرحمن الرحيم
L’État de Conscience Divine Absolue est Une Page Vierge par Laquelle on peut tout écrire, créer : Cet État correspond au Domaine Divin Le Plus Élevé (Ha-Hut), dans Lequel, Pur Esprit Créateur, on est totalement coupé du monde créé (duquel on n’a plus la moindre vision, le moindre contact, la moindre attache) après s’Y être élevé spirituellement ; et Cet État correspond à L’État Divin « Originel » (comprendre : d’avant la création – avant qu’ALLAH ﷻ ne décide de Se faire connaître et ne crée à cet effet des témoins de Son Existence).
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« Nous te ferons réciter de sorte que tu n’oublieras… » : quand ALLAH ﷻ révèle des choses (science, versets, secrets…) aux élus, il leur en fait mémoriser certaines, et oublier d’autres qui ne font que passer/transiter dans leur cœur de manière éphémère (ce qui fait qu’après ils recherchent dans leur mémoire cette vérité qui les a effleurés puis s’en est allée – mais en vain, car ALLAH ﷻ veut qu’ils l’oublient) : ainsi, certaines de ces choses passent à la postérité, sont révélées à l’humanité (elles sont « récitées » – « Iqra ! » – ou écrites avant de l’être), quand d’autres retournent dans les limbes de l’invisible et de l’inconnaissable (ALLAH ﷻ dévoile brièvement avant de re-voiler – peut-être pour préparer à cette vérité, à titre d’introduction).
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« ALLAH ﷻ S’interpose entre l’homme et son cœur… » : qu’on se tourne vers LUI ou qu’on décide de LUI tourner le dos, ALLAH ﷻ finit toujours par S’imposer à l’homme, lui imposer Son Existence Incontournable : on ne peut pas LUI échapper ; ainsi, si l’homme, en vertu de son libre arbitre, se croit définitivement quitte avec ALLAH ﷻ, et croit pouvoir disposer, à sa guise, de sa conscience, de son cœur, de son être, de sa vie, il se méprend lourdement : car il appartient à ALLAH ﷻ, et ALLAH ﷻ finit toujours par Se rappeler à lui, bon gré mal gré, à un moment ou un autre ; donc, autant répondre de bonne grâce à ALLAH ﷻ quand LUI-Même et le Messager ﷺ nous appellent à ce qui nous donne la vie, car dans tout les cas c’est vers LUI que nous serons rassemblés.
