بسم الله الرحمن الرحيم
Dans l’affaire Jacques Rançon, on voit bien que les protagonistes sont reliés indirectement par des liens qui leur échappent et les dépassent :
C’est qu’ils sont tous connectés à une volonté diabolique centrale, qui les manipule spirituellement par Jinn interposés et les contrôle ainsi à distance.
Et si dans le monde matériel ils n’ont aucun rapport, ne se connaissent ni d’Ève ni d’Adam et n’ont strictement rien à voir les uns avec les autres, c’est donc dans le monde invisible que se trouvent les ficelles qui les relient, par transfert d’informations et de consignes : c’est par ce canal que Marc Delpech savait que le meurtrier s’appelait Jacques (« Jack ») et a pu donner une description si précise de sa victime ; et ainsi qu’il a pu livrer son étrange ébauche de roman, si prémonitoire.
Les maîtres instigateurs sont une clique de sorciers satanistes qui comprend notamment Salvador Dali et Georges Hodel, et c’est bien le chirurgien expert Hodel qui, par l’intermédiaire d’un Rançon qu’il manipulait via des Jinn relayeurs, pratiquait avec autant de précision les ablations sur la malheureuse Moktaria.